La raison d’être d’un règlement des études
Le règlement des études s’adresse aux élèves et à leurs parents.
Il définit notamment les critères d’un travail de qualité ainsi que les procédures d’évaluation.
Informations aux parents
En début d’année scolaire, lors des réunions collectives d’information dans chaque cycle, les enseignants informent les enfants et les parents sur :
Ils répondront également aux questions posées par les parents.
A partir des observations relevées en cours d’apprentissage ou d’un entretien oral personnalisé avec l’enfant ou d’une production écrite individuelle ou en groupe, l’enseignant pratique une évaluation formative qui consiste à rendre explicite les progrès et les éventuelles difficultés rencontrées par l’enfant.
De cette manière, l’enseignant reconnaît à l’enfant le droit à l’erreur et peut envisager avec lui des conseils d’amélioration.
Au terme des différentes étapes d’apprentissage, des synthèses réalisées, l’enseignant propose des bilans. Ceux-ci sont cotés et en fonction des résultats obtenus par l’enfant, l’enseignant inscrit dans le bulletin une appréciation ou une cotation chiffrée.
Si ces tests numérotés ne sont pas signés par les parents et qu’ils ne sont pas classés correctement dans la farde de tests, l’école se réserve le droit de ne pas compléter le bulletin de l’enfant concerné.
Ces bilans permettent à l’enseignant de faire un état des lieux (voir ce que l’enfant connaît, ce qui est à revoir et comment y remédier), de prendre des dispositions nécessaires pour aider l’enfant en difficulté et aménager les nœuds-matières à revoir.
Les enfants, les enseignants et les parents pourront ainsi élaborer une stratégie permettant à l’enfant de grandir.
Ces bilans ont lieu : fin décembre, courant mars et fin juin.
A ces périodes, après les bilans, l’enfant recevra un bulletin.
Au terme de la P2, P3, P4 et P5 (suivant les années), quand l’élève est censé avoir atteint les compétences de fin d’année, nous lui présentons des épreuves externes.
Celles-ci sont proposées par le réseau de l’enseignement libre et sont communes à toutes les écoles catholiques.
En P6 les évaluations externes certificatives sont communes à toutes les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il s’agit du C.E.B. : Certificat d’études de base.
a) Constitution du dossier de l’élève :
Le dossier de l’élève comporte la copie des bulletins des deux dernières années de la scolarité primaire ainsi que les fardes complètes des tests signés par les parents au cours des deux dernières années.
b) Délivrance du C.E.B.
En fin de parcours scolaire, un jury externe d’attribution du Certificat d’Etudes de Base exerce une fonction délibérative et se prononce sur le passage à l’enseignement secondaire.
Les questions des épreuves porteront uniquement sur les compétences à certifier et issues des référentiels du Tronc commun (10/06/2022).
Après en avoir fait la demande, les parents peuvent consulter, en présence de l’enseignant et/ou de la direction, les livrets de l’épreuve externe commune de leur enfant.
La communication aux parents d’une décision de refus d’octroi d’un C.E.B. sera accompagnée de :
Aide aux enfants en difficulté
A l’école maternelle:
A l’école primaire:
Ces stratégies « aménagements raisonnables » seront mises en place en interne par l’équipe, en fonction des besoins décelés.
Ces aménagements atteindront leurs limites s’ils compromettent le bon fonctionnement de la classe, s’ils remettent en cause l’équité entre les élèves ou s’ils ne sont pas fondés par des recommandations médicales ou pédagogiques claires.
Si l’école l’estime nécessaire, une observation par les Pôles territoriaux d’aménagements raisonnables pourra être demandée.
Nous pourrions également vous guider vers un suivi complémentaire comme des séances de logopédie par exemple.
En effet, certains éclairages réalisés par des professionnels, des experts, peuvent nous guider vers un travail réellement adapté aux besoins spécifiques de l’enfant.
Contacts entre l’école et les parents
Les parents peuvent rencontrer la direction ou les enseignants lors des contacts pédagogiques, lors des réunions ou sur rendez-vous.
Les rencontres parents-enseignants doivent se situer en dehors des heures de cours.
Lors de celles-ci, l’enseignant se tient à leur disposition afin de parler du travail, de l’évolution du comportement de l’enfant ainsi que des possibilités de remédiation à envisager.
Le Centre PMS
Des contacts avec le Centre psycho-médico-social (PMS) peuvent également être sollicités : soit par les parents, soit par les élèves ou encore l’école. Le centre peut être contacté au numéro de téléphone suivant : 087/32.27.41 ou à l’adresse suivante :
Centre P.M.S. Libre 4, rue Laoureux 32 à 4800 Verviers.
Les deux agents présents au sein de notre établissement sont :
Mme Jessica NICOLAIJE
0493/51.67.86 j.nicolaije@ cpmslibresverviers.be |
Mme Ludive REAL
0488/75.88.84 l.real@cpmslibresverviers.be |
Les conditions d’un travail scolaire de qualité
Bien que les quelques lignes ci-dessous appartiennent à votre fonctionnement personnel et « touchent » à votre sphère privée, nous nous permettons de vous rappeler quelques conditions qui, à nos yeux, peuvent aider votre enfant dans son parcours scolaire :
« Il n’y a pas d’école efficace
sans famille engagée.
Nous faisons chacun notre part.
L’enfant a besoin des deux. »
Article 1.7.2-1. – § 1er. Aucun minerval direct ou indirect ne peut être perçu dans l’enseignement maternel, primaire et secondaire, ordinaire ou spécialisé. Sans préjudice de l’article 1.7.2-2, le pouvoir organisateur ne peut en aucun cas formuler lors de l’inscription ou lors de la poursuite de la scolarisation dans une école une demande de paiement, directe ou indirecte, facultative ou obligatoire, sous forme d’argent, de services ou de fournitures.
Article 1.7.2-2. – § 1er. Dans l’enseignement maternel, ordinaire et spécialisé, sans préjudice des alinéas 2 et 3, aucuns frais scolaires ne peuvent être perçus et aucune fourniture scolaire ne peut être réclamée aux parents, directement ou indirectement. Dans l’enseignement maternel, ordinaire et spécialisé, seuls les frais
scolaires suivants, appréciés au cout réel, peuvent être perçus : 1° les droits d’accès à la piscine ainsi que les déplacements qui y sont liés ; 2° les droits d’accès aux activités culturelles et sportives s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement arrête le montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/ou pour l’ensemble des années d’étude de l’enseignement maternel ; 3° les frais liés aux séjours pédagogiques avec nuitée(s) organisés par l’école et s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école, ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/ou pour l’ensemble des années d’étude de l’enseignement maternel. Seules les fournitures scolaires suivantes ne sont pas fournies par les écoles :
1° le cartable non garni ; 2° le plumier non garni ; 3° les tenues vestimentaires et sportives usuelles de l’élève. Aucun fournisseur ou marque de fournitures scolaires, de tenues vestimentaires ou sportives usuelles ou prescriptions qui aboutissent au même effet ne peuvent être imposés aux parents ou à la personne investie de l’autorité parentale. Les frais scolaires autorisés visés à l’alinéa 1er, 1° à 3°, ne peuvent pas être cumulés en vue d’un paiement forfaitaire et unique. Ils sont imputés à des services précis et effectivement organisés. Les montants fixés en application de l’alinéa 1er, 2° et 3°, sont annuellement indexés en appliquant aux montants de l’année civile précédente le rapport entre l’indice général des prix à la consommation de janvier de l’année civile en cours et l’indice de janvier de l’année civile précédente.
2° les droits d’accès aux activités culturelles et sportives s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/ou sur l’ensemble des années d’étude de l’enseignement primaire ; 3° les frais liés aux séjours pédagogiques avec nuitée(s) organisés par l’école et s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école, ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/ou sur l’ensemble des années d’étude de l’enseignement primaire. Aucun fournisseur ou marque de fournitures scolaires, de tenues vestimentaires ou sportives usuelles ou prescriptions qui aboutissent au même effet ne peut être imposé aux parents ou à la personne investie de l’autorité parentale. Les frais scolaires autorisés visés à l’alinéa 1er, 1° à 3°, ne peuvent pas être cumulés en vue d’un paiement forfaitaire et unique. Ils sont imputés à des services précis et effectivement organisés. Les montants fixés en application de l’alinéa 1er, 2 et 3°, sont indexés annuellement en appliquant aux montants de l’année civile précédente le rapport entre l’indice général des prix à la consommation de janvier de l’année civile en cours et l’indice de janvier de l’année civile précédente.
Article 1.7.2-3. – § 1er. Les pouvoirs organisateurs sont tenus, dans la perception des frais scolaires, de respecter l’article 1.4.1-5. Ils peuvent, dans l’enseignement primaire et dans l’enseignement secondaire, mettre en place un paiement correspondant au cout moyen réel des frais scolaires.